[~~ Priez, pleurez, pitié. Je viens de lire vos péchés ! ~~]
| • Nom: Wataridori • Prénom: Kakkou • Surnom: Le ninja aveugle • Âge: 32 ans • Taille: 170 Cm • Poids: 61 Kg
• Village: Kumo • Clan: Hôzuki
• Vice: Indiscipliné • Vertu: Imperturbable |
Ce que je suis.
Personne ne me connait. Je suis un jeune prophète dans ce monde de vieux arrogants. Un nouveau guerrier qui ne supporte pas les injustices. Notre existence est bien trop dépendante des anciens, la nouvelle génération doit à tout prit se faire remarquée. Les démons qui parcourent ce monde subiront le courroux de ma lame, les anciens qui se révolteront s’agenouilleront devant leurs enfants. Car comme il est arrivé au Rikudou, les temps changent, l’histoire se répète, et le moment venus, nous prendront le pouvoir. Je ne suis qu’un ninja aveugle, et pourtant j’ai l’impression que je vais très vite me faire connaître !
L'origine de ma personne.
Je descend d’une famille d’ermite. Je nie cependant toute mes origines. On reconnait facilement grâce à la peau foncé de mon corps mes origines du pays de la Foudre. Ma famille a vite rejoint un clan du nom de Hôsuki. Après avoir fait nos preuves à l’arme blanche. Ainsi les Wataridori et les Hôsuki se sont unis. Tout en formant deux groupes distincts. Nos compétences mis en commun. Les Hôzuki bien plus nombreux, sont les plus populaires. Le village de la Foudre fut alors fondé, réunissant plusieurs clans sous sa tutelle, un inconnu prit le pouvoir. Ainsi, j’ai juré allégeance à mon nouveau maître, bien que me dicter des ordres ne sera pas facile... J’ai pas l’habitude d’obéir !
L'enfance, un passage de la vie désagréable.
Je n’ai jamais été un enfant. Dès le plus jeune âge, j’ai dû me comporter comme un adulte, pour la survie du clan, et également les moqueries de mes camarades sur ma cécité. C’est ce qui me rend si dur et sérieux aujourd’hui.
Le village et le monde, vus par mes yeux aveugles.
Le village est pour moi un fardeau. Je passe mon temps à satisfaire le bon vouloir du Kage dans des missions sans grandes importances. De mon point de vue. La richesse du village est plus importante que la justice apparemment. Mais avec le rang que j’exerce au sein du village, je ne peut que montrer l’exemple. Il faut bien que le monde tourne. Ainsi je laisse faire, j’obéit la plupart du temps à mon Kage, les autres c'est une autre histoire. La désertion ? Non ce n’est pas une possibilité, je suis peut-être compétent des les missions d’assassinat, mais si les différents villages envoient à mes trousses les mêmes équipes d’assassins dont je fait partie, je ne donne pas chère de ma peau... Pour le moment, il est plus sage de faire profil bas. Si parfois quelque dérapages se produisent lors d’une mission, si j’estime une personne digne de mourir sous mon sabre, il est toujours possible de trouver une excuse !
Ce qui fait de moi ce que je suis.
Je me qualifierai de justicier. La paix dans le monde m’importe peu, la justice n’est pas synonyme de paix. Il existera toujours des prêcheurs, petits vers de terre pourrissant la pomme qu’ils habitent, et moi je suis là pour l’éradiquer, cette vermine. Aucune clémence n’est permit. C’est aussi pour cela que l’on m'apprécie au village, j’exerce comme un aura de sûreté autour de moi, comme si tout allait bien même dans les pires moments. Il suffit d’être dans mon camp, regarder mon visage imperturbable, les yeux bandés, et tout s'apaise soudainement.
La grande tragédie.
Le jour où j’ai tué mon père et mon frère ainé tentant de déserter le village. Le même frère qui avait prit ma défense lorsque mon maître me saignait, pour simple cause d’être aveugle. Ce frère là aux côtés de mon paternel avaient fuient l’influence du Kage. Ils étaient un peu comme moi, incontrôlables. Mais eux n’on vu aucun danger dans le projet de déserteur. Avec mon équipe d’assassin nous les avons retrouvés en 3 jours, dans le pays voisin. 3 jours de traque, et 3 minutes de combats. Ils se sont rendus compte de leur situation critique au moment où la brume les a entourés. Je me rappel encore ce silence de mort, ils étaient dos à dos, leurs sabres en main, attendant le moment fratricide. La tension à son comble. Mais la justice est plus forte que les simples liens familiaux. Je dégainais mon katana à mon tour, et c’est l’enfer pour quelques minutes. Aucun mots n’a été prononcé. Dans la brume épaisse, mon père et mon frère furent assassinés silencieusement, et moi je pleurai pour la première et dernière fois de ma vie, en silence, toujours en silence.
Le futur que je souhaite voir arriver.
La justice bigre ! La paix où la guerre, peut m’importe, tant que justice est respectée. Il y a des lois en temps de paix, et aussi en temps de guerre. Je suis comme un outil à combat. Je suis né pour ça, et je mourrait pour ça. Je n’ai pas réellement de rêve, si ce n’est d’être reconnu en tant que shinobi unique. Je veux être craint de tous, les violeurs de lois, les déserteurs et autres parasites, et dès que je m’approchent d’eux lançant ma brume comme signature, qu’ils sachent que leur heure est venue, et que je ne suis pas loin !
Mon amitié est rare, ce qui est rare est chère.
Aucune confiance, ni amitié, ni même la moindre sympathie. Toutes les personnes que je croise, sont des collègues de travail. Et je sais les remettre à leur place s’ils s’imaginent un instant que l’on pourrait sympathiser. À la limite, il y a bien une personne en qui je suis loyal, le Kage évidemment. Une personne des plus respectable, probablement la seul personne que je considère comme mon supérieur. C’est bel et bien cette personne qui me retient au village. Car la crainte et la peur est le meilleur agent de désistement. Tant qu’elle sera à la tête du village, je resterai fidèle à celui-ci.
La puissance, l'argent, ou le pouvoir ?
La puissance, un outil fort serviable pour imposer la justice. L’argent, moins utile mais l’homme est facilement corruptible, un vice de la race que je serais mettre à mon avantage. Je n'habite pas le village le plus luxueux pour rien, il faut prendre partie des atouts de sa nation, et en profiter. Et enfin le pouvoir, c’est bien la seul chose qui me répugne, je hait avoir des devoirs et de si grandes responsabilité. Cela nuirais à mon art, je ne serais même plus sur le terrain, la justice, comment être sûr que mes subordonnés feraient du bon travail ? Non, le meilleur travail est celui que l’on fait soit-même.
Points forts / Points faibles
Je suis mal placé pour vous parler des mes points forts et de mes points faibles. Demandez cela aux autres membres de l’équipe d’assassinat, ils seront mieux qualifier pour répondre. Cependant j’accepte de développer certains points : Vu que je suis aveugle, mes autres sens sont bien plus développés que la normale. Ainsi je peux me mouvoir et a un sens de détection hors du commun. Bien moindre qu’un ninja senseur certes. Un point faible que vous pouvez prendre en note, je me met facilement en mauvaise posture lorsqu’il s’agit d’une provocation. Un défi est forcément accepté, dans ma logique.
Ce que je suis à l’extérieur.
Je déteste attendre. C’est pour cela que je préfère partir en mission seul. Les fardeaux ne sont pas les biens venus, et si jamais acceptés, ils sont traités comme des moins que rien. Je n’ai aucune patience. Une manie immédiatement remarquable lorsque vous êtes à mes côtés, je me racle souvent la gorge d’un petit grognement. Et avant de parler il sort à chaque fois de ma bouche un «Hum...». Je ne connais pas l’origine de ce tique de parole, je m’en rend pas forcément compte que je le fait. Peut-être cela renforce-t-il mon aire sérieux ?
Certains préjugés.
Un jugement préconçus qui est une partie à part entière de mon âme, les faibles sont un fardeau essentiel au bon fonctionnement du village. Leur rendre justice n'est plus de mon ressort. Je dois m'occuper des menaces extérieurs, pour mettre à l'abris ces mêmes personnes. Les parasites doivent être anéantis, les faibles servir les puissants, les puissants protéger les faibles, les anciens reconnaître la force de leurs enfants.
Et Vous ?
Le même personnage depuis des années, le même forum, de vieilles connaissances, un vieux copain qui vous dit Bonjour ! J'ai eu le courage de rédiger tout ça ce matin, j'hésitait à revenir (tout recommencer c'est fatigant). Mais trop dur de résister !