Citation :

La mort de ses parents lorsqu'elle fut prise en plein milieu d'une guerre. Les voyant mourir elle prit alors part au combat étanchant alors sa soif de sang. Les années sur le champs de bataille passèrent et elle fit la rencontre de cet homme lui permettant alors de le rejoindre afin de venir dans un village. Elle décida alors de le suivre et le servir. !

Un voyage ne se terminant jamais, voici ce dont était fait la vie de ses parents. Aoko regarda alors le paysage tranquillement, elle resta assise derrière les deux cheveux qui tiraient celle-ci. Elle bailla un long moment avant de se rendre compte qu'elle venait de voir un enfant qui avait l'air perdu. Elle arrêta alors le convoi ce qui réveilla ses parents sous le choc et sortirent alors la tête du chariot. Aoko était debout à côté de l'enfant et alla voir s'il était en bonne santé, celui ci fondit alors en larmes, la rousse le prit alors contre elle lui tapotant doucement le dos, elle 'attrapa alors et le déposa sur le siège doucement et lui demanda alors d'où il venait. Celui ci lui indiqua la direction à prendre. Ils suivirent alors le trajet qui dura plusieurs jours durant. Aoko prit alors soin de l'enfant s'occupant de lui comme elle s'occuperait de son petit frère. Câlins, réconfort, douceur la jeune femme faisait tout ce qu'il fallait pour que l'enfant ne souffre pas de la solitude et de l'éloignement de ses proches.

Les jours passèrent et finalement la jeune femme arriva dans un petit attroupement de personnes. Lorsqu'elle vit ces hommes elle ne remarqua pas de loin que ceux c'étaient armés jusqu'aux dents. L'enfant se leva alors et descendit de la charrette lorsque Aoko s'approcha ils avaient rangé les armes et l'accueillirent comme si de rien était. La jeune femme expliqua alors comment elle avait trouvé l'enfant, mais demanda aussi si elle pouvait se poser ici quelques jours en compagnie de ses parents. Elle fut alors bien accueillie et commença alors à se reposer. En se réveillant l'atmosphère était toute autre.

Oppressante, pesante, mais surtout cette odeur de sang qui se rependait autour d'elle. Puis un cri, celui de sa mère. Aoko se leva alors d'un bond et chercha alors la provenance de ce cri. Elle courut alors et lorsqu'elle arriva elle sentit alors tout son corps se paralyser. Tétaniser, elle ne put rien faire lorsqu'elle vit sa mère empalée sur cette lame. Elle sentit juste les larmes couler sur ces joues abondamment. Elle était effrayée et ne pouvait malheureusement pas bouger. Elle regarda la scène, vit alors sa mère tomber au sol, c'est à ce moment la qu'elle se sentit prise d'une rage et d'une soif de vengeance. Elle se mit alors à trembler comme une feuille, changeant alors totalement d'attitude, elle commença alors à rire et relever la tête doucement regardant alors l'homme en se mangeant les ongles et riant aux éclats. Elle se claqua alors la main sur le front et laissa alors l'homme l'approcher. Elle le laissa alors poser la main sur elle, lorsqu'il eut ce geste elle attrapa le bras et commença à lui tordre, elle chuchota alors au creux de son oreille:

"Tu les as tués, tous tués. J'ai envie de te faire souffrir peu importe la manière enflure!"

Elle était dégoutée, mais aussi aveuglée par la haine qu'elle pouvait ressentir envers cet homme. Elle attrapa alors les cheveux de celui ci et tira vers l'arrière le faisant alors tomber au sol. Souriant elle continua de le rouer de coups une fois qu'il fut à terre. Laissant alors la rage et le désespoir prendre contrôle d'elle et de ses mouvements. Ce n'était à vrai dire plus la même, la fille gentille était partie laissant alors place à une tout autre Aoko. Elle montra alors ce dont elle était capable, attachant alors l'homme qu'elle venait de battre avant de lui relever doucement le visage lui enfonçant alors la pointe de ses kunai dans les yeux ressentant alors ceux ci se percer, mais aussi le plaisir de cette vengeance. Elle était totalement heureuse de le voir souffrir de la sorte, un plaisir immense, oubliant presque le fait que sa mère fut morte. La demoiselle continua alors la torture jouant avec l'homme et arrachant les ongles puis lui ouvrant le ventre sans aucun remord ni même aucun dégout. Jouant alors avec les tripes de celui ci, elle s'approcha alors doucement avant de lui susurrer sadiquement:

"Tu vas mourir de la main de la chose fragile que je suis! J'espère que cela te plait autant que moi je m'amuse! Tu es un déchet et tu finiras ta vie avec ce statut!"

Elle éclata alors de rire,et regarda le corps inanimé de sa victime, elle resta ainsi quelques instants rigolant aux éclats et passant alors la main pleine de sang sur son visage. Quelques hommes arrivèrent alors regardant la jeune femme et voulant l'interpeller, mais celle ci fuit alors dans une foret non loin de la. Lorsqu'elle se réveilla le lendemain couverte de sang elle ne se rappelait plus du massacre qu'elle avait fait la veille. Aoko était maintenant seule sans personne à qui se confier. Personne pour l'aider ou encore l'épauler. Les larmes coulèrent alors pendant un long moment se rappelant alors du visage de sa mère, c'était le dernier souvenir qu'elle allait avoir de celle ci. Un souvenir marquant à jamais. Elle resta assise un moment le visage apeuré mais surtout pleurant comme le ferai une enfant de 4 ans. Lorsqu'une personne arriva et prêta attention à elle la jeune femme se jeta alors dans ses bras pleurant alors de plus bel, serrant son coeur assez fort et ne laissant alors pas un mot sortir.